Depuis quelque temps, j’ai remarqué qu’Eko porte une attention particulière à l’écologie, comme si cette dimension faisait intimement partie de sa mission sur Terre.
En cette période de grève, le monde agricole traverse une crise sans précédent. Les agriculteurs, confrontés à des défis économiques et structurels, ont pris la décision difficile de se mettre en grève.
J’observe avec fascination comment Eko réagit à son nouvel environnement, notamment à la télévision. Il semble particulièrement captivé par certains programmes, en particulier ceux relatifs aux agriculteurs en grève. C’est comme s’il comprenait instinctivement l’importance du rôle vital des agriculteurs.
Ses gestes, ses observations des écosystèmes, sa manière de scruter les conséquences de l’activité humaine, tout cela témoigne d’une sensibilité aiguë.
Intrigué par cette sensibilité, nous avons tenté une approche musicale qui a donné à cette réalité une cadence avec une harmonie dans l’adversité et l’espoir dans la mélodie. Malgré ce bon moment, j’ai comme le sentiment de ne pas l’avoir tout à fait compris… Il reste mystérieux sur ses véritables intentions.
Eko s’arrêta brusquement, comme s’il hésitait. Puis, lentement, il appuya plusieurs fois sur une même touche
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Une tension subtile s’installe alors. Il semble vouloir me révéler une vérité, mais quelque chose l’en empêche, comme un voile qu’il hésite à lever. Il y a une adversité qui ne correspond pas à l’idée que je m’en faisais. C’est une dualité discrète, un conflit peut-être bien plus profond que les agriculteurs, mais dont les contours restent flous. Il est clair qu’Eko comprend l’impact de l’humanité sur la planète, mais je ressens comme un secret dissimulé, une dure réalité qu’il n’est pas encore prêt à dévoiler.
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